Lisant, dans Causeur, l’article « L’inintelligence de la main », je me souviens de mon expérience de professeur regardant les mains de mes élèves tenant leur « outil graphique » et reprendrais volontiers ce qu’Ingrid Riocreux écrit : « On voit toutes les postures : le stylo tenu entre trois doigts aplatis ou serrés entre le majeur et l’annulaire, index et majeur au chômage ; souvent le pouce est trop avancé et recouvre l’index. » Me revient à l’esprit Études d’une main et d’une tête pour le portrait d’Érasme, d’Holbein, vues dans l’essai de Focillon, L’Éloge de la main, que les Éditions Marguerite Waknine ont eu la bonne idée de rééditer.